UNION DETERMINISTE

UNIDET

Ce site qui traite du Déterminisme, de la Liberté, du Libre arbitre, de la Responsabilité, de la Morale, de la Justice, de l’origine des croyances et des goûts ne peut que choquer les esprits religieux ou paraître sans intérêt pour les esprits superficiels. Il n’est pas recommandé non plus aux philosophes de profession qui se délectent de transcendance et de spontanéité et qui ne peuvent que trouver simpliste la simplicité des thèses qui y sont exposées.
Par contre ceux qui n’ont pas trop d’idées préconçues sur la question, qui pensent qu’il n’est pas de bons raisonnements sans parfaite logique et sans précision absolue dans les définitions et les termes employés pourront, peut-être, être intéressés par les thèses défendues dans ce site.


SITE PARENT     http://unidet.free.fr     http://edgar.bosi.free.fr 

L’Union déterministe "Unidet" est une association dont le but est de regrouper tous ceux qui ont compris que les hommes sont déterminés dans leur caractère, dans leurs croyances et dans leurs goûts et par eux, dans leurs choix et dans leurs actes.
Elle croit qu’un tel regroupement, par l’addition des talents, des idées et des possibilités de chacun peut permettre de concevoir et de mener à bien une action coordonnée et intelligente pour faire comprendre à tous ceux qui se croient "libres", qui croient à l’existence de leur libre-arbitre, qu’ils sont victimes d’une illusion.
Le problème de la liberté ou plus exactement celui du libre arbitre de l’homme qui pendant des siècles a mobilisé les plus grands esprits ne semble plus intéresser personne et en particulier les philosophes dont les sujets de préoccupation et de réflexion portent plus souvent aujourd’hui sur des faits de l’actualité politique et sociale que sur les grandes questions fondamentales de la philosophie.
Peut-être croient-ils que ce problème de la liberté de l’homme est résolu, que l’existence du libre-arbitre est un fait établi et qu’il n’y a plus, par conséquent, lieu d’en débattre. Nous pensons au contraire que si ce sujet est devenu tabou c’est que les grandes consciences religieuses et morales de notre Société ont senti qu’il était devenu dangereux d’en parler. Les progrès de la science, la diminution importante de l’influence de la religion sur les esprits font qu’un tel débat, en effet, aurait sans doute, aujourd’hui, quelques chances de tourner à l’avantage des déterministes.



Les tenants de la liberté que nous appellerons : "libertistes", peuvent faire valoir que la plupart des philosophes de l’Antiquité à nos jours ont défendu  les idées qui sont les leurs et qu’il faut être bien présomptueux pour  vouloir mettre en cause les thèses de penseurs aussi prodigieusement doués que l’était Platon, Leibniz, Descartes, Kant ou Sartre par exemple.
On peut répondre qu’il s’agit là d’un argument d’autorité qui, comme tous les arguments d’autorité, n’a aucune valeur puisque à l’opinion des uns on peut toujours opposer l’opinion des autres et que de toute façon, une opinion n’est pas une preuve.
On peut dire aussi qu’il n’existe pas une seule théorie libertiste mais de très nombreuses, que chacun des auteurs que nous avons cites à la sienne et qu’un très grand nombre d’autres ont la leur. Et ces théories sont souvent très différentes, elles peuvent même se contredire. C’est par exemple Cicéron critiquant Chrysippe, c’est Saint Augustin critiquant Cicéron, c’est Leibniz s’opposant à Descartes à propos du sentiment vif interne que nous avons de notre Liberté, sentiment qui, selon lui, suffit à prouver son existence. Ou bien encore c’est Kant  qui affirme que si les phénomènes sont des choses en soi, la liberté ne peut être sauvée, ce qui revient à dire que si les choses sont ce que les hommes ont toujours cru qu’elles étaient, la liberté est impossible. Disant cela il condamnait les thèses de tous les philosophes libertistes qui l’ont précédé et même de tous ceux qui après lui ont continué de défendre le principe de l’existence de la Liberté de la volonté sans pour autant adhérer à sa conception très particulière de l’espace et du temps.



Face à ces théories diverses et souvent obscures, la théorie déterministe apparaît comme monolithique. Elle est de surcroît d’une clarté et d’une simplicité qui font que toute faute de logique, s’il y en avait, apparaîtrait nécessairement. En effet que disent les déterministes ?
Ils disent qu’être Libre c’est n’être pas soumis au déterminisme, c’est n’être pas déterminé à vouloir ce qu’on veut et à choisir ce qu’on choisit, c’est être la cause première de ses choix et de ses actes puisqu’en effet une cause première est une cause qui n’est déterminée par aucune autre cause. Or, disent-ils, comment pourrions-nous être la cause première de nos choix et de nos actes alors que nous ne sommes pas la cause première de ce que nous sommes mais aussi de ce que nous croyons, aimons ou n’aimons pas ?

Certains diront peut-être que s’il est vrai que nous ne sommes pas la cause première de notre existence, de ce que nous sommes au départ, il en va tout autrement pour nos croyances et nos goûts. Je les invite à se demander et à expliquer comment, de quelle façon, ces croyances et ces goûts sont devenus les nôtres.
Je les invite surtout à se poser cette question :
Croit-on ce qu’on croit parce qu’on a choisi de le croire ou choisit-on ce qu’on choisi parce qu’on croit ce qu’on croit ?

Il est bien évident qu’on ne choisit pas de croire ce qu’on croit, qu’on ne choisit pas d’aimer ce qu’on aime ou de détester ce qu’on déteste, que c’est le contraire qui est vrai, que ce sont nos goûts et nos croyances, c’est à dire ce qui nous paraît être beau ou laid, bon ou mauvais, bien ou mal, vrai ou faux, possible ou impossible, sans importance ou nécessaire, etc…qui font que nos choix et par conséquent nos actes sont ce qu’ils sont.
Nous ne choisissons pas d’être et par conséquent d’être ce que nous sommes au départ, à la naissance. Ce que nous devenons est le produit des influences des milieux dans lesquels nous avons vécu, influences auxquelles nous avons réagi suivant le caractère particulier de notre personnalité génétique, (ce qui fait qu’une même influence peut avoir des effets très différents selon les individus).
Comme nous ne choisissons pas le ou les milieux dans lequel ou dans lesquels nous passons la première partie de notre vie et comme nous ne choisissons pas non plus notre hérédité, notre personnalité génétique et comme ceux-ci, par conséquent, ne peuvent être autres que ce qu’ils sont, notre caractère, nos croyances, nos goûts, nos choix, nos décisions et nos actes, eux non plus, ne peuvent être autres que ce qu’ils sont.
Le point de vue déterministe, du moins celui que nous défendons, tient tout entier dans ce raisonnement.



Bien évidemment, les philosophes libertistes se gardent bien de poser le problème de cette façon. La plupart d’entre eux, en effet, fondent ou justifient leur conviction libertiste à partir de considérations subjectives. Ils se livrent à des études introspectives de leurs états de conscience et ces études, évidemment, les confortent dans l’idée qu’ils sont Libres. Mais cette liberté là n’est que subjective. Ce qui doit être démontré c’est la réalité de l’existence objective de la Liberté.

D’autres qui ont compris qu’on ne peut démontrer l’existence d’une réalité objective à partir de considérations purement subjectives prennent pour sujet de leurs raisonnements l’Homme, l’homme en général, c’est à dire un être abstrait censé représenter tous les hommes, ce qui les conduit nécessairement à les considérer comme étant tous semblables et s’ils sont tous semblables à postuler l’existence de la Liberté pour expliquer pourquoi ils choisissent et agissent différemment.
Malheureusement pour les libertistes l’observation la plus ordinaire nous montre que les hommes ne sont pas tous semblables, qu’ils peuvent même être très différents, très différents dans leur caractère, dans leurs croyances et dans leurs goûts.

Il apparaît par conséquent que les hommes choisissent et agissent différemment, non parce qu’ils sont libres de choisir ce qu’ils choisissent mais parce qu’ils sont différents.



D’autres philosophes ont prétendu ou prétendent que l’homme est Libre car doué de conscience et aussi de Raison.
Il semble bien que ces auteurs accordent à la conscience beaucoup plus de pouvoir qu’elle n’en a. De quoi sommes nous conscients en effet ? Nous sommes conscients de l’existence de l’Univers, de notre propre existence, d’être ce que nous sommes, de croire ce que nous croyons, d’aimer ce que nous aimons mais la conscience n’intervient pas dans la genèse des croyances et des goûts. Conscients ou non, nous n’avons aucune possibilité de ne pas croire ce que nous croyons et de ne pas aimer ce que nous aimons. Il en est de même de notre ”Raison” : Elle n’a pas choisi nos croyances et nos goûts, elle tente seulement de les justifier.



Il convient maintenant de dire quelques mots à propos de la Liberté dont il a été question jusqu’ici. Les philosophes d’autrefois parlaient plutôt de Libre arbitre ou de Liberté d’indifférence. Ces deux termes sont tombés en désuétude et tout le monde aujourd’hui parle de la Liberté de l’homme ou de la Liberté de la volonté. Ce changement d’appellation est tout à fait regrettable car la mot liberté a plusieurs sens, tout au moins deux principaux très différents. Il peut signifier possibilité de faire ce qu’on veut, c’est son sens le plus habituel, ou possibilité de ne pas faire ce qu’on fait ou mieux encore possibilité de ne pas vouloir ce qu’on veut, ce qui est la définition claire et précise du Libre arbitre. Le sens des mots les plus utilisés ayant tendance à prendre dans notre esprit et nos raisonnements la place de ceux qui le sont moins, il arrive très souvent et c’est le cas, même chez certains philosophes éminents, qu’on les confonde. C’est pourquoi, afin d’éviter autant que possible ce genre de confusion nous mettons un L majuscule au mot Liberté lorsqu’il est pris dans le sens de Libre arbitre.



D’autres philosophes qui conviennent que la Liberté d’indifférence, le Libre arbitre sont logiquement impossibles, continuent malgré tout de parler de ”liberté” et de responsabilité.
Il est tout à fait étonnant que des gens intelligents, pouvant être agrégés de philosophie, puissent tenir de tels propos. En effet, pour être responsable de ses actes il faut nécessairement avoir la possibilité d’agir autrement qu’on agit, avoir la possibilité de ne pas faire ce qu’on fait. Et pour avoir cette possibilité il faut avoir la possibilité de ne pas vouloir ce qu’on veut, de ne pas choisir ce qu’on choisit puisque ce que nous faisons, si nous sommes sain d’esprit, dépend de ce que nous voulons et choisissons de faire. Et ce que nous voulons et choisissons, en supposant, là encore, que nous sommes sain d’esprit, dépend de nos goûts et de nos croyances, c’est à dire, je le redis, de ce que nous croyons être bon ou mauvais, bien ou mal, vrai ou faux, utile ou inutile, possible ou impossible, sans importance ou nécessaire, etc… Et ces goûts et ces croyances  qui déterminent nos choix et nos actes dépendent à leur tour des influences des milieux dans lesquels nous avons vécu, influences auxquelles nous avons réagi suivant le caractère particulier de notre personnalité génétique. Et comme ces influences et notre personnalité génétique ne peuvent être autres que ce qu’elles sont, nos croyances, nos goûts, nos choix, nos décisions et  nos actes ne peuvent, eux aussi, être autres que ce qu’ils sont. Il est donc clair que l’homme n’a pas la possibilité d’agir autrement qu’il agit et il est clair aussi que ceux qui soutiennent le contraire se trompent ou nous trompent. Cette deuxième éventualité doit être envisagée car il semble bien que certains libertistes ne pouvant concevoir une vie sociale sans responsabilité, croient moins à l’existence de la Liberté qu’à la nécessité d’y croire

Résumons ce qui vient d’être dit : Pour être Libre et responsable il faut pouvoir ne pas croire ce qu’on croit et ne pas aimer ce qu’on aime. Or nous n’avons pas ce pouvoir car nous ne choisissons pas nos croyances et nos goûts alors que ce sont, au contraire, elles et eux qui font que nos choix sont ce qu’ils sont.



Cette très grande difficulté des libertistes à concevoir une Société dans laquelle les hommes ne seraient pas responsables de leurs actes se révèle particulièrement dans le domaine de la Justice. Si les voleurs et les assassins ne sont pas responsables de leurs actes, au nom de quoi, disent-ils, pourrait-on les juger et les condamner ?  Cette idée d’impunité les conduit à penser qu’une Société déterministe serait nécessairement une Société dans laquelle règnerait une très grande  insécurité.
Ils se trompent. En effet, les Sociétés humaines, quelles que  soient les principes sur lesquels elles sont fondées, ont besoin d’ordre et de sécurité pour exister et perdurer. Dans une Société déterministe on arrêtera et enfermera comme aujourd’hui les voleurs et les assassins. On les enfermera, non pour les punir mais pour les empêcher de nuire, pour protéger la Société. On ne les considérera plus comme des êtres responsables qui doivent expier pour leurs forfaits mais comme des malades sociaux qu’il faut s’efforcer de guérir. Lorsque la guérison apparaîtra comme impossible ces malheureux resteront enfermés tout le temps qu’il faudra, jusqu’à leur mort si nécessaire. La Société sera alors mieux protégée qu’elle l’est actuellement car les délinquants, aujourd’hui, étant condamnés pour des durées plus ou moins longues selon la gravité de leurs délits, se retrouvent, ayant purgé leur peine, libres, c’est à dire, dans la plupart des cas, libres de reprendre le cours de leurs méfaits. Une part importante de ceux qui peuplent les prisons sont en effet des récidivistes. Le régime carcéral actuel n’améliore en aucune façon les individus. Ceux qui en sortent restent les mêmes ou, plus souvent encore, sont pires qu’à leur arrivée.
Certains vont sans doute dire qu’enfermer, peut-être à vie, des hommes qui ne sont pas responsables d’être ce qu’ils sont et de faire ce qu’ils font est totalement injuste. C’est injuste en effet et c’est pourquoi il convient de ne pas rendre les choses plus injustes encore en traitant ces asociaux avec dureté, en les obligeant à vivre dans des conditions indignes, des conditions  qui les ravalent au rang de l’animalité. Il faut au contraire créer un milieu qui leur permettent de changer et de s’améliorer. Il faut considérer et traiter ces délinquants comme on considère et on traite les fous dangereux qui, eux non plus, ne sont pas responsables de leurs actes et qu’on enferme pourtant, parfois jusqu’à leur mort. Là aussi c’est injuste mais nécessaire.
Cette injustice qui nous choque on la retrouve pourtant partout, dès les premiers moments de la vie humaine. Pourquoi en effet certains êtres sont-ils beaux, pleins de santé et intelligents alors que d’autres sont laids, maladifs et un peu stupides ? Où est la justice ? Elle est, comme la responsabilité, dans l’esprit de ceux qui se croient Libres et non dans le monde dans lequel ils vivent.
De toute façon, l’homme étant un être social et la Société, hors de laquelle il ne pourrait vivre, ne pouvant perdurer et prospérer que si l’ordre et la sécurité sont assurés et cet ordre et cette sécurité ne pouvant être obtenus que si on respecte les lois et les interdits édictés par la Société, il est impossible de laisser en liberté ceux qui ne les respectent pas, que cela soit juste ou non.



Ces dernières considérations nous amènent à parler de Morale. Pour les libertistes, en effet, il ne saurait y avoir de Morale sans Liberté. Si l’homme ne peut être autre que ce qu’il est, s’il ne peut faire d’autres choix que ceux qu’il fait, s’il ne peut agir autrement qu’il agit, c’est à dire s’il est déterminé à croire ce qu’il croit, à aimer ce qu’ il aime et de ce fait à vouloir ce qu’il veut, à choisir ce qu’il choisit et à faire ce qu’il fait, comment pourrait-il agir conformément à la morale s’il est déterminé à agir autrement.
Voyez, disent-ils, sans Liberté il n’y a plus ni Bien ni Mal et par conséquent plus de Morale possible.
Observons que pour les libertistes le Bien et le Mal ont une existence objective. Tous les hommes, selon eux, ont la même conception du Bien du Mal. Il est assez facile de montrer que cela n’est pas vrai. Certes, et c’est heureux pour la vie sociale, la plupart des hommes pensent que c’est mal de voler ou de tuer d’autres hommes mais tous les hommes ne le pensent pas. Certains, en effet, pour des raisons qui tiennent aux influences de leur milieux, influences auxquelles ils ont réagit suivant le caractère particulier de leur personnalité génétique, pensent autrement. Leur morale n’est pas la Morale des honnêtes gens.
En fait, le bien est le mal ne sont que des mots qui correspondent à certaines façon d’agir et de se comporter. Comme il est facile de se rendre compte que le bien est ce qui est bon pour la vie en Société et que ce qui est mal est ce qui mauvais et nocif  pour elle, il apparaît que ce sont les dirigeants des premières Sociétés humaines qui ont édicté les lois et les interdits qui rendent la vie sociale possible. Cette explication paraît plus vraisemblable que celle des Chrétiens qui nous disent que c’est Dieu qui en haut du mont Sinaï a donné ces lois, ces commandements à Moïse et auxquels Jesus Christ a ajouté l'amour du prochain et la charité.

N’importe quel imbécile venu est capable de comprendre que si tous les hommes mentaient, volaient, tuaient, toute vie sociale serait impossible. Il en est des lois qui régissent la vie des hommes entre eux comme de celles de la circulation sur les routes. Si personne ne s’arrêtait aux stops et aux feux rouge, si tout les automobilistes roulaient indifféremment à droite ou à gauche les accidents seraient innombrables et toute circulation deviendrait impossible. Or on n’a jamais prétendu que le code de la route était d’inspiration divine.



Tout ce qui vient d’être dit n’est évidemment qu’une petite partie des arguments que les déterministes peuvent faire valoir dans le débat qui les oppose aux tenants de la Liberté (les: "Libertistes").

Ceux qui voudraient connaître plus complètement le point de vue de l’association sur ce problème de Liberté (ou Libre arbitre) peuvent consulter le livre d’Edgar Bosi intitulé : "De la possibilité de ne pas croire ce qu’on croit et de ne pas aimer ce qu’on aime", édité par UNIDET.

 Dans la première partie de cet ouvrage de 400 pages le problème de la Liberté est considéré sous tous ses aspects et dans toutes ses conséquences. Dans la deuxième et troisième partie on trouvera une étude critique des thèses des principaux philosophes qui de Platon à Sartre ont défendu le point de vue libertiste. Le prix de ce livre est de 12 euros, port compris

UNIDET a également édité un autre livre du même auteur dont le titre est : Opinion et réflexions d'un esprit mat sur le libre arbitre, la religion, la responsabilité, la justice, la morale, la vie en société, la haine, etc...Ce livre de 80 pages est vendu 4 euros, port compris.

Pour ce procurer ces différents ouvrages il suffit de cliquer ici, de faire votre commande en donnant votre nom et votre adresse.

Dès réception de votre chèque libellé au nom de UNIDET et adressé au siège de l’association 7 Place Regnard de l’Ile 77260 La Ferté sous Jouarre nous vous ferons parvenir le ou les ouvrages commandés.


L’adhésion à notre association est gratuite, aucune cotisation n’est demandée mais nous acceptons les dons de ceux qui en ont les moyens et qui désireraient de cette façon participer à nos efforts pour, par voie de tracts, d’affiches ou par tout autre moyen, amener le maximum de gens à s’interroger sur ce sujet et ainsi, peut-être, pour certains d’entre eux à comprendre qu’ils n’ont pas de Libre arbitre mais sont déterminés comme tout ce qui existe et arrive dans l’Univers

Pour adhérer à l’association cliquer ici, donnez votre nom et votre adresse en indiquant que vous désirez adhérer à l’Union déterministe UNIDET.. Nous vous répondrons pour vous confirmer votre adhésion.




On trouvera ci-après un tract que ceux qui consultent ce site pourront, s’ils le désirent, imprimer en plusieurs ou beaucoup d’exemplaires pour le faire parvenir à ceux qui leur paraissent susceptibles d’être intéressés par un sujet de ce genre.
Ce tract sera suivi de quelques autres.

Accueil

LES QUESTIONS D’EDGAR BOSI

SUJET DE MEDITATION N°1

PEUT-ON NE PAS CROIRE CE QU’ON CROIT
ET NE PAS AIMER CE QU’ON AIME ?

POURQUOI CROIT-ON CE QU’ON CROIT ?
CROIT-ON CE QU’ON CROIT
PARCE QU’ON A CHOISI DE LE CROIRE
OU
CHOISIT-ON CE QU’ON CHOISIT
PARCE QU’ON CROIT CE QU’ON CROIT ?
SI NOS CROYANCES NE SONT PAS 
CHOISIES,
SI ELLES DETERMINENT NOS CHOIX
ET 
SI NOS CHOIX DETERMINENT NOS ACTES,
POUVONS-NOUS AGIR AUTREMENT
QUE NOUS AGISSONS ?
http://union deterministe.free.fr 
http://unidet.free.fr
D'autres sujets de méditations sont disponibles sur http://edgar.bosi.free.fr
Accueil - Pour imprimer le tract cliquez ici -
pour nous envoyez vos suggestions et vos critiques cliquez ici