L’Union déterministe
"Unidet" est une association dont le but est de regrouper tous ceux qui
ont compris que les hommes sont déterminés dans leur caractère, dans
leurs croyances et dans leurs goûts et par eux, dans leurs choix et
dans leurs actes.
Elle croit qu’un tel regroupement, par l’addition
des talents, des idées et des possibilités de chacun peut permettre de
concevoir et de mener à bien une action coordonnée et intelligente pour
faire comprendre à tous ceux qui se croient "libres", qui croient à
l’existence de leur libre-arbitre, qu’ils sont victimes d’une illusion.
Le
problème de la liberté ou plus exactement celui du libre arbitre de
l’homme qui pendant des siècles a mobilisé les plus grands esprits ne
semble plus intéresser personne et en particulier les philosophes dont
les sujets de préoccupation et de réflexion portent plus souvent
aujourd’hui sur des faits de l’actualité politique et sociale que sur
les grandes questions fondamentales de la philosophie.
Peut-être
croient-ils que ce problème de la liberté de l’homme est résolu, que
l’existence du libre-arbitre est un fait établi et qu’il n’y a plus,
par conséquent, lieu d’en débattre. Nous pensons au contraire que si ce
sujet est devenu tabou c’est que les grandes consciences religieuses et
morales de notre Société ont senti qu’il était devenu dangereux d’en
parler. Les progrès de la science, la diminution importante de
l’influence de la religion sur les esprits font qu’un tel débat, en
effet, aurait sans doute, aujourd’hui, quelques chances de tourner à
l’avantage des déterministes.
Les tenants de la liberté que nous
appellerons : "libertistes", peuvent faire valoir que la plupart des
philosophes de l’Antiquité à nos jours ont défendu les idées qui
sont les leurs et qu’il faut être bien présomptueux pour vouloir
mettre en cause les thèses de penseurs aussi prodigieusement doués que
l’était Platon, Leibniz, Descartes, Kant ou Sartre par exemple.
On
peut répondre qu’il s’agit là d’un argument d’autorité qui, comme tous
les arguments d’autorité, n’a aucune valeur puisque à l’opinion des uns
on peut toujours opposer l’opinion des autres et que de toute façon,
une opinion n’est pas une preuve.
On peut dire aussi qu’il n’existe
pas une seule théorie libertiste mais de très nombreuses,
que chacun des auteurs que nous avons cites à la sienne et qu’un
très grand nombre d’autres ont la leur. Et ces théories sont souvent
très différentes, elles peuvent même se contredire. C’est par exemple
Cicéron critiquant Chrysippe, c’est Saint Augustin critiquant Cicéron,
c’est Leibniz s’opposant à Descartes à propos du sentiment vif interne
que nous avons de notre Liberté, sentiment qui, selon lui, suffit à
prouver son existence. Ou bien encore c’est Kant qui affirme que
si les phénomènes sont des choses en soi, la liberté ne peut être
sauvée, ce qui revient à dire que si les choses sont ce que les hommes
ont toujours cru qu’elles étaient, la liberté est impossible. Disant
cela il condamnait les thèses de tous les philosophes libertistes qui
l’ont précédé et même de tous ceux qui après lui ont continué de
défendre le principe de l’existence de la Liberté de la volonté sans
pour autant adhérer à sa conception très particulière de l’espace et du
temps.
Face à ces théories diverses et souvent obscures, la
théorie déterministe apparaît comme monolithique. Elle est de surcroît
d’une clarté et d’une simplicité qui font que toute faute de logique,
s’il y en avait, apparaîtrait nécessairement. En effet que disent les
déterministes ?
Ils disent qu’être Libre c’est n’être pas soumis au
déterminisme, c’est n’être pas déterminé à vouloir ce qu’on veut et à
choisir ce qu’on choisit, c’est être la cause première de ses choix et
de ses actes puisqu’en effet une cause première est une cause qui n’est
déterminée par aucune autre cause. Or, disent-ils, comment
pourrions-nous être la cause première de nos choix et de nos actes
alors que nous ne sommes pas la cause première de ce que nous sommes
mais aussi de ce que nous croyons, aimons ou n’aimons pas ?
Certains
diront peut-être que s’il est vrai que nous ne sommes pas la cause
première de notre existence, de ce que nous sommes au départ, il en va
tout autrement pour nos croyances et nos goûts. Je les invite à se
demander et à expliquer comment, de quelle façon, ces croyances et ces
goûts sont devenus les nôtres.
Je les invite surtout à se poser cette question :
Croit-on ce qu’on croit parce qu’on a choisi de le croire ou choisit-on ce qu’on choisi parce qu’on croit ce qu’on croit ?
Il
est bien évident qu’on ne choisit pas de croire ce qu’on croit, qu’on
ne choisit pas d’aimer ce qu’on aime ou de détester ce qu’on déteste,
que c’est le contraire qui est vrai, que ce sont nos goûts et nos
croyances, c’est à dire ce qui nous paraît être beau ou laid, bon ou
mauvais, bien ou mal, vrai ou faux, possible ou impossible, sans
importance ou nécessaire, etc…qui font que nos choix et par conséquent
nos actes sont ce qu’ils sont.
Nous ne choisissons pas d’être et par
conséquent d’être ce que nous sommes au départ, à la naissance. Ce que
nous devenons est le produit des influences des milieux dans lesquels
nous avons vécu, influences auxquelles nous avons réagi suivant le
caractère particulier de notre personnalité génétique, (ce qui fait
qu’une même influence peut avoir des effets très différents selon les
individus).
Comme nous ne choisissons pas le ou les milieux dans
lequel ou dans lesquels nous passons la première partie de notre vie et
comme nous ne choisissons pas non plus notre hérédité, notre
personnalité génétique et comme ceux-ci, par conséquent, ne peuvent
être autres que ce qu’ils sont, notre caractère, nos croyances, nos
goûts, nos choix, nos décisions et nos actes, eux non plus, ne peuvent
être autres que ce qu’ils sont.
Le point de vue déterministe, du moins celui que nous défendons, tient tout entier dans ce raisonnement.
Bien évidemment, les philosophes libertistes se gardent bien de poser le problème de cette façon. La plupart d’entre eux, en effet, fondent ou justifient leur conviction libertiste à partir de considérations subjectives. Ils se livrent à des études introspectives de leurs états de conscience et ces études, évidemment, les confortent dans l’idée qu’ils sont Libres. Mais cette liberté là n’est que subjective. Ce qui doit être démontré c’est la réalité de l’existence objective de la Liberté.
D’autres
qui ont compris qu’on ne peut démontrer l’existence d’une réalité
objective à partir de considérations purement subjectives prennent pour
sujet de leurs raisonnements l’Homme, l’homme en général, c’est à dire
un être abstrait censé représenter tous les hommes, ce qui les conduit
nécessairement à les considérer comme étant tous semblables et s’ils
sont tous semblables à postuler l’existence de la Liberté pour
expliquer pourquoi ils choisissent et agissent différemment.
Malheureusement
pour les libertistes l’observation la plus ordinaire nous montre que
les hommes ne sont pas tous semblables, qu’ils peuvent même être très
différents, très différents dans leur caractère, dans leurs croyances
et dans leurs goûts.
Il apparaît par conséquent que les hommes choisissent et agissent différemment, non parce qu’ils sont libres de choisir ce qu’ils choisissent mais parce qu’ils sont différents.
D’autres philosophes ont prétendu ou prétendent que l’homme est Libre car doué de conscience et aussi de Raison.
Il
semble bien que ces auteurs accordent à la conscience beaucoup plus de
pouvoir qu’elle n’en a. De quoi sommes nous conscients en effet ? Nous
sommes conscients de l’existence de l’Univers, de notre propre
existence, d’être ce que nous sommes, de croire ce que nous croyons,
d’aimer ce que nous aimons mais la conscience n’intervient pas dans la
genèse des croyances et des goûts. Conscients ou non, nous n’avons
aucune possibilité de ne pas croire ce que nous croyons et de ne pas
aimer ce que nous aimons. Il en est de même de notre ”Raison” : Elle
n’a pas choisi nos croyances et nos goûts, elle tente seulement de les
justifier.
Il convient maintenant de dire quelques mots à propos de la Liberté dont il a été question jusqu’ici. Les philosophes d’autrefois parlaient plutôt de Libre arbitre ou de Liberté d’indifférence. Ces deux termes sont tombés en désuétude et tout le monde aujourd’hui parle de la Liberté de l’homme ou de la Liberté de la volonté. Ce changement d’appellation est tout à fait regrettable car la mot liberté a plusieurs sens, tout au moins deux principaux très différents. Il peut signifier possibilité de faire ce qu’on veut, c’est son sens le plus habituel, ou possibilité de ne pas faire ce qu’on fait ou mieux encore possibilité de ne pas vouloir ce qu’on veut, ce qui est la définition claire et précise du Libre arbitre. Le sens des mots les plus utilisés ayant tendance à prendre dans notre esprit et nos raisonnements la place de ceux qui le sont moins, il arrive très souvent et c’est le cas, même chez certains philosophes éminents, qu’on les confonde. C’est pourquoi, afin d’éviter autant que possible ce genre de confusion nous mettons un L majuscule au mot Liberté lorsqu’il est pris dans le sens de Libre arbitre.
D’autres philosophes qui
conviennent que la Liberté d’indifférence, le Libre arbitre sont
logiquement impossibles, continuent malgré tout de parler de ”liberté”
et de responsabilité.
Il est tout à fait étonnant que des gens
intelligents, pouvant être agrégés de philosophie, puissent tenir de
tels propos. En effet, pour être responsable de ses actes il faut
nécessairement avoir la possibilité d’agir autrement qu’on agit, avoir
la possibilité de ne pas faire ce qu’on fait. Et pour avoir cette
possibilité il faut avoir la possibilité de ne pas vouloir ce qu’on
veut, de ne pas choisir ce qu’on choisit puisque ce que nous faisons,
si nous sommes sain d’esprit, dépend de ce que nous voulons et
choisissons de faire. Et ce que nous voulons et choisissons, en
supposant, là encore, que nous sommes sain d’esprit, dépend de nos
goûts et de nos croyances, c’est à dire, je le redis, de ce que nous
croyons être bon ou mauvais, bien ou mal, vrai ou faux, utile ou
inutile, possible ou impossible, sans importance ou nécessaire, etc… Et
ces goûts et ces croyances qui déterminent nos choix et nos actes
dépendent à leur tour des influences des milieux dans lesquels nous
avons vécu, influences auxquelles nous avons réagi suivant le caractère
particulier de notre personnalité génétique. Et comme ces influences et
notre personnalité génétique ne peuvent être autres que ce qu’elles
sont, nos croyances, nos goûts, nos choix, nos décisions et nos
actes ne peuvent, eux aussi, être autres que ce qu’ils sont. Il est
donc clair que l’homme n’a pas la possibilité d’agir autrement qu’il
agit et il est clair aussi que ceux qui soutiennent le contraire se
trompent ou nous trompent. Cette deuxième éventualité doit être
envisagée car il semble bien que certains libertistes ne pouvant
concevoir une vie sociale sans responsabilité, croient moins à
l’existence de la Liberté qu’à la nécessité d’y croire
Résumons ce qui vient d’être dit : Pour être Libre et responsable il faut pouvoir ne pas croire ce qu’on croit et ne pas aimer ce qu’on aime. Or nous n’avons pas ce pouvoir car nous ne choisissons pas nos croyances et nos goûts alors que ce sont, au contraire, elles et eux qui font que nos choix sont ce qu’ils sont.
Cette très grande difficulté
des libertistes à concevoir une Société dans laquelle les hommes ne
seraient pas responsables de leurs actes se révèle particulièrement
dans le domaine de la Justice. Si les voleurs et les assassins ne sont
pas responsables de leurs actes, au nom de quoi, disent-ils,
pourrait-on les juger et les condamner ? Cette idée d’impunité
les conduit à penser qu’une Société déterministe serait nécessairement
une Société dans laquelle règnerait une très grande insécurité.
Ils
se trompent. En effet, les Sociétés humaines, quelles que soient
les principes sur lesquels elles sont fondées, ont besoin d’ordre et de
sécurité pour exister et perdurer. Dans une Société déterministe on
arrêtera et enfermera comme aujourd’hui les voleurs et les assassins.
On les enfermera, non pour les punir mais pour les empêcher de nuire,
pour protéger la Société. On ne les considérera plus comme des êtres
responsables qui doivent expier pour leurs forfaits mais comme des
malades sociaux qu’il faut s’efforcer de guérir. Lorsque la guérison
apparaîtra comme impossible ces malheureux resteront enfermés tout le
temps qu’il faudra, jusqu’à leur mort si nécessaire. La Société sera
alors mieux protégée qu’elle l’est actuellement car les délinquants,
aujourd’hui, étant condamnés pour des durées plus ou moins longues
selon la gravité de leurs délits, se retrouvent, ayant purgé leur
peine, libres, c’est à dire, dans la plupart des cas, libres de
reprendre le cours de leurs méfaits. Une part importante de ceux qui
peuplent les prisons sont en effet des récidivistes. Le régime carcéral
actuel n’améliore en aucune façon les individus. Ceux qui en sortent
restent les mêmes ou, plus souvent encore, sont pires qu’à leur arrivée.
Certains
vont sans doute dire qu’enfermer, peut-être à vie, des hommes qui ne
sont pas responsables d’être ce qu’ils sont et de faire ce qu’ils font
est totalement injuste. C’est injuste en effet et c’est pourquoi il
convient de ne pas rendre les choses plus injustes encore en traitant
ces asociaux avec dureté, en les obligeant à vivre dans des conditions
indignes, des conditions qui les ravalent au rang de l’animalité.
Il faut au contraire créer un milieu qui leur permettent de changer et
de s’améliorer. Il faut considérer et traiter ces délinquants comme on
considère et on traite les fous dangereux qui, eux non plus, ne sont
pas responsables de leurs actes et qu’on enferme pourtant, parfois
jusqu’à leur mort. Là aussi c’est injuste mais nécessaire.
Cette
injustice qui nous choque on la retrouve pourtant partout, dès les
premiers moments de la vie humaine. Pourquoi en effet certains êtres
sont-ils beaux, pleins de santé et intelligents alors que d’autres sont
laids, maladifs et un peu stupides ? Où est la justice ? Elle est,
comme la responsabilité, dans l’esprit de ceux qui se croient Libres et
non dans le monde dans lequel ils vivent.
De toute façon, l’homme
étant un être social et la Société, hors de laquelle il ne pourrait
vivre, ne pouvant perdurer et prospérer que si l’ordre et la sécurité
sont assurés et cet ordre et cette sécurité ne pouvant être obtenus que
si on respecte les lois et les interdits édictés par la Société, il est
impossible de laisser en liberté ceux qui ne les respectent pas, que
cela soit juste ou non.
Ces dernières considérations nous amènent
à parler de Morale. Pour les libertistes, en effet, il ne saurait y
avoir de Morale sans Liberté. Si l’homme ne peut être autre que ce
qu’il est, s’il ne peut faire d’autres choix que ceux qu’il fait, s’il
ne peut agir autrement qu’il agit, c’est à dire s’il est déterminé à
croire ce qu’il croit, à aimer ce qu’ il aime et de ce fait à vouloir
ce qu’il veut, à choisir ce qu’il choisit et à faire ce qu’il fait,
comment pourrait-il agir conformément à la morale s’il est déterminé à
agir autrement.
Voyez, disent-ils, sans Liberté il n’y a plus ni Bien ni Mal et par conséquent plus de Morale possible.
Observons
que pour les libertistes le Bien et le Mal ont une existence objective.
Tous les hommes, selon eux, ont la même conception du Bien du Mal. Il
est assez facile de montrer que cela n’est pas vrai. Certes, et c’est
heureux pour la vie sociale, la plupart des hommes pensent que c’est
mal de voler ou de tuer d’autres hommes mais tous les hommes ne le
pensent pas. Certains, en effet, pour des raisons qui tiennent aux
influences de leur milieux, influences auxquelles ils ont réagit
suivant le caractère particulier de leur personnalité génétique,
pensent autrement. Leur morale n’est pas la Morale des honnêtes gens.
En
fait, le bien est le mal ne sont que des mots qui correspondent à
certaines façon d’agir et de se comporter. Comme il est facile de se
rendre compte que le bien est ce qui est bon pour la vie en Société et
que ce qui est mal est ce qui mauvais et nocif pour elle, il
apparaît que ce sont les dirigeants des premières Sociétés humaines qui
ont édicté les lois et les interdits qui rendent la vie sociale
possible. Cette explication paraît plus vraisemblable que celle des Chrétiens qui nous disent que c’est Dieu qui en haut du
mont Sinaï a donné ces lois, ces commandements à Moïse et auxquels Jesus Christ a ajouté l'amour du prochain et la charité.
N’importe quel imbécile venu est capable de comprendre que si tous les hommes mentaient, volaient, tuaient, toute vie sociale serait impossible. Il en est des lois qui régissent la vie des hommes entre eux comme de celles de la circulation sur les routes. Si personne ne s’arrêtait aux stops et aux feux rouge, si tout les automobilistes roulaient indifféremment à droite ou à gauche les accidents seraient innombrables et toute circulation deviendrait impossible. Or on n’a jamais prétendu que le code de la route était d’inspiration divine.
Tout ce qui vient d’être dit n’est évidemment qu’une petite partie des arguments que les déterministes peuvent faire valoir dans le débat qui les oppose aux tenants de la Liberté (les: "Libertistes").
Ceux qui voudraient connaître plus complètement le point de vue de l’association sur ce problème de Liberté (ou Libre arbitre) peuvent consulter le livre d’Edgar Bosi intitulé : "De la possibilité de ne pas croire ce qu’on croit et de ne pas aimer ce qu’on aime", édité par UNIDET.
Dans la première partie de cet ouvrage de 400 pages le problème de la Liberté est considéré sous tous ses aspects et dans toutes ses conséquences. Dans la deuxième et troisième partie on trouvera une étude critique des thèses des principaux philosophes qui de Platon à Sartre ont défendu le point de vue libertiste. Le prix de ce livre est de 12 euros, port compris
UNIDET
a également
édité un autre livre du même auteur dont le titre est : Opinion et
réflexions d'un esprit mat sur le libre arbitre, la religion, la
responsabilité, la justice, la morale, la vie en société, la haine,
etc...Ce livre de 80 pages est vendu 4 euros,
port compris.
Pour ce procurer ces différents ouvrages il suffit de cliquer ici, de faire votre commande en donnant votre nom et votre adresse.
Dès réception de votre chèque libellé au nom de UNIDET et adressé au siège de l’association 7 Place Regnard de l’Ile 77260 La Ferté sous Jouarre nous vous ferons parvenir le ou les ouvrages commandés.
L’adhésion
à notre association est gratuite, aucune cotisation n’est demandée mais
nous acceptons les dons de ceux qui en ont les moyens et qui
désireraient de cette façon participer à nos efforts pour, par voie de
tracts, d’affiches ou par tout autre moyen, amener le maximum de gens à
s’interroger sur ce sujet et ainsi, peut-être, pour certains d’entre
eux à comprendre qu’ils n’ont pas de Libre arbitre mais sont déterminés
comme tout ce qui existe et arrive dans l’Univers
Pour adhérer à l’association cliquer ici, donnez votre nom et votre adresse en indiquant que vous désirez adhérer à l’Union déterministe UNIDET.. Nous vous répondrons pour vous confirmer votre adhésion.
On trouvera
ci-après un tract que ceux qui consultent ce site pourront, s’ils le
désirent, imprimer en plusieurs ou beaucoup d’exemplaires pour le faire
parvenir à ceux qui leur paraissent susceptibles d’être intéressés par
un sujet de ce genre.
Ce tract sera suivi de quelques autres.
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